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Liste
des personnages ayant un lien avec sa vie ou ses écrits
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Ames
Pelham W. |
Secrétaire
de la Sutro Tunnel Company. (History of a great work and of an
honest miner).
D'après
Symmes, il était de cur avec lui et JA, mais comme
employé de la Sutro Tunnel Co. il ne pouvait donner son
opinion. Il reconnaissait quel bon ami JA avait été
pour lui dans le passé. (Is it the duty of an attorney...)
L’histoire
de la Lowell High School: Un businessman de San Francisco du nom
de Pelham W. Ames était un membre du «Board of Éducation » . Il
était né dans la ville de Lowell, Massachusetts, était diplômé
de Harvard, et était un admirateur de James Russell Lowell. Il
a proposé le nom de "Lowell" au Board, et après un vote, l’école
anciennement nommée Boys' High School devint la Lowell High School.
(www.lowellalumni.org/history_19century.shtml).
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Augier
Émile |
Auteur.
(Giboyer)
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Aron
Françoise |
Françoise
Picard épouse Aron, Mère de Joseph.
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Aron
Lazare |
Père
de Joseph
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Aron
Rosalie |
Amélie
Rosalie Mace épouse Aron, seconde femme de JA.
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Aron
Simon |
Frère
de Joseph
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Bancroft
George |
(1800-1891)
Dans "Monument to Grant" JA. l'accuse d'être pro-allemand,
en particulier sur le problème de l'Alsace Lorraine.
Historien américain. A été le ministre des
États-Unis de Grant à Berlin.
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Barnato
Barney |
(1852-1897)
Ancien acteur comique du Cockney il part en Afrique du Sud et
devient millionnaire dans le commerce du diamand dans le Kimberley.
Il s'est suicidé en 1897 sur un bateau à vapeur
qui le ramenait en Angleterre.
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Beer
Julius |
Associé
de JA dans Weil & Co. Tobacco.
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Beer
Gottlieb |
Frère
de Julius Beer. (Sutro papers, SF).
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Brégeault |
Substitut
du Procureur Général. Il a plaidé contre
JA dans l'Affaire Aron-Ménard, en 1899. C'est après
sa condamnation que JA. publie "Quatre lettres à monsieur
Brégeault".
Adresse
en 1904: 18, rue Cassette, Paris.
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Caemmerer
A. A. |
Notaire,
10, Wall Street, New-York.
A
travaillé pour JA, en particulier pour protester contre
un compromis de "Royalties"
D'après
Tauszky, serait le prête nom de JA pour l'achat de 50.000
actions Sutro Tunnel le 25 juillet 1888. (Is it the duty of an
attorney...)
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Calmann
Georges |
De
Calmann-Lévy. Il reçois JA le 30 octobre 1900 et lui refuse les
droits demandés d’Émile Augier..(Deux lettres à Paul Déroulède).
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de
Castellane, Boni (Comte) |
JA
publie une lettre du Comte adressée au New York Herald
dans "L'Amérique et la France" (1902).
Boniface-Marie-Ernest-Paul,
dit Boni de Castellane (1867-1932), petit-fils d’Henri de Castellane
passa une partie de son enfance au château de Rochecotte (Indre-et-Loire),
fit ses études au collège Stanislas et au collège de Juilly, servit
au 15e régiment de chasseurs puis mena une vie brillante et mondaine.
Député et conseiller général des Basses-Alpes de 1898 à 1910,
il avait épousé en 1895 Anna Gould, fille du “ roi ” des chemins
de fer américains. Les fastueuses réceptions données par Boni
de Castellane, dandy, homme de lettres et ami de Marcel Proust,
dans le palais à la façade de marbre rose construit à l’angle
de l’avenue du Bois et de l’avenue Malakoff sur le modèle du grand
Trianon sont demeurées célèbres, comme celles du château du Marais
près de Rambouillet.
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Céard
Henry |
« Ancien
témoin de M. de Kératry contre moi dans une tentative de duel
de l’ancien Préfet de Police » (Drumont, Zola et les juifs).
Romancier
et dramaturge, est né à Bercy le 18 novembre 1851 et mort à Paris
le 16 août 1924. D'abord employé au ministère de la Guerre, il
a été successivement attaché au cabinet du préfet de la Seine,
puis sous-directeur de la bibliothèque de la Ville de Paris à
l'hôtel Carnavalet. À l'exemple de nombreux écrivains, sa vie
de fonctionnaire lui permit de mener parallèlement une activité
littéraire en faisant publier ses premières nouvelles dans diverses
revues. La Saignée, l'une des meilleures nouvelles parue dans
le recueil collectif des Soirées de Médan en 1881 lui valut le
succès et un nom aux côtés de Huysmans, Zola, Maupassant... Céard
réaffirma son talent en 1881 avec un roman naturaliste, Une belle
journée, suivi en 1906 d'une oeuvre plus pessimiste Terrains à
vendre au bord de la mer.
Il
a beaucoup aidé Zola dans la documentation, en assistant aux premières
théâtrales, afin de lui fournir les notes nécessaires à la rédaction
de son feuilleton dramatique. Il réalisa aussi de nombreuses études
sur son ami : « Pot-Bouille d'Émile Zola » paru dans La Vie moderne
en 1882, « Émile Zola » paru dans L'Express en 1882... Zola, quant
à lui, l'aida en écrivant une chronique sur son roman Une belle
journée dans Le Figaro en 1881. Leur amitié se détériora pour
de nombreuses raisons, à la fois personnelles, littéraires et
politiques : profondément antidreyfusard et membre de la Ligue
des Patriotes, Céard ne pouvait plus approuver son maître et il
n'avait par ailleurs jamais accepté la décoration de Zola à la
Légion d'honneur et sa nomination à l'Académie.
Comme
beaucoup d'auteurs naturalistes, il entreprit de rénover la littérature
dramatique. Il adapta en 1886 le roman des frères Goncourt Renée
Mauperin au théâtre de l'Odéon et composa des pièces pour André
Antoine : Tout pour l'honneur en 1887, Les Résignés en 1889, La
Pêche en 1890. La plupart de ses tentatives théâtrales furent
des échecs ; malgré cela, il consacra pratiquement tout son temps
dès 1889 à la production théâtrale.
En 1919, il est élu membre de l'Académie Goncourt en remplacement
de la poétesse haute en couleurs Judith Gautier.
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Chatrian
Alexandre |
1826-1890,
Co-Auteur d'Erkmann-Chatrian, Professeur de JA au collège
de Phalsbourg.
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Chotteau
Léon |
(1838/1895)
Adresse en 1885: 75, avenue de Villiers, Paris.
En 1885, il publie dans la presse une réponse pro-Grant
à JA. Dans sa lettre au "Matin" il dit de JA.:
"M.
Aron est un français très intelligent, très
honorable, et ce qui ne gâte rien très riche".
Mis
en cause par JA dans "Monument to Grant" avec la publication
de deux lettres adressées à M. de Plasse, il obtient
lors d'un procès et par le jugement du Tribunal Civil de
la Seine du 12 novembre 1890, que les deux pages en question soient
retirées du livre. Il n'obtiendra pas les 50.000 francs
de dommages et intérêts ni la publication du jugement
dan 20 journaux qu'il demandait.
"...agitateur
bien connu d'un traité de commerce franco-américain.
( New-Yorker Staats Zeitung, 07/09/1885). Il aurait rencontré
Grant en 1866, 1867 puis à Paris en 1877; et a écrit
plusieurs livres sur les États-Unis.
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Collin |
Avocat
de J.A. dans son affaire avec Ménard en 1897. (Drumont, Zola et
les juifs).
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Decori
Felix |
Avocat,
élève de Waldeck Rousseau. A traité J.A. de « rastaquouère » et
d’ « agioteur» à la neuvième chambre, devant monsieur Bidault
de l’Isle, assisté du juge Katz « dont j’ai connu le père à Strasbourg ».
(Drumont, Zola et les juifs).
Il
était un ami proche de Raymond Poincaré, qui était
l'amant de son épouse Magdeleine Decori. Il publie la "Correspondance
de George Sand et Alfred de Musset", Ed. E. Deman à
Bruxelles en 1904.
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Delmas |
Avocat
de San Francisco, connu et et apprécié de JA, qui
a probablement collaboré avec lui avant 1873. JA aurait
souhaité qu'il s'occupe de l'affaire Symmes. Mais ce dernier
considérant que "coté" il serait probablement
trop cher, il propose Houghton un ami à lui a déjà
envisagé l'affaire.
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Déroulède
Paul |
Auteur,
homme politique, neveu d’Émile Augier. |
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Drumont
Édouard |
(1844
~ 1917) Employé à la préfecture de la Seine, il quitta rapidement
l'administration pour le journalisme: L'Univers, Le Nain jaune,
Le Contemporain. La Revue de France, Le Gaulois, La Liberté (critique
dramatique), Le Bien Public, Le Petit Journal (critique d'art),
etc. Il se fit d'abord connaître par la publication de plusieurs
ouvrages non politiques: Les Fêtes nationales à Paris (1878),
Mon Vieux Paris (1878), Le Dernier des Trémolin (1879). ~ Appelé
à la direction du Monde en 1886, il publia, en avril de la même
année, La France juive, véritable manifeste de l'antisémitisme,
qui atteignit vite la 150e édition, et valut à son auteur, en
même temps que la notoriété, une condamnation à une forte amende
et deux duels. Drumont publia ensuite, dans la même veine, La
France juive devant l'opinion (1886), La Fin d'un monde (1889),
La Dernière Bataille (1890), Le Testament d'un antisémite (1891),
Le Secret de Fourmis (1892). Pour donner plus d'ampleur à sa campagne,
il lança le 20 avril 1892 La Libre Parole, avec comme sous-titre:
«La France aux Français». ~ En mai 1898, à la faveur des émeutes
antisémites d'Alger, Drumont fut élu député de cette ville. A
la Chambre, il se proclama chef du parti anti-juif. Il s'opposa
vivement à la révision du procès de Dreyfus (1897-1898); il réclama
des poursuites contre Zola; il réclama l'abrogation du décret
Crémieux (1899)... ~ Battu aux élections générales du 27 avril
1902, il reprit son métier de journaliste et d'écrivain. Le 22
février 1915, il prit la direction du journal Le Peuple français.
Sa mort, en 1917, passa presque inaperçue.
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de
France Georges |
Rédacteur
en chef de « l’or et l’argent » pendant quelques temps à partir
de juillet 1895, puis renvoyé par J.A. Il a publié son autobiographie
dans le numéro du 1er octobre 1895. Il se prétend neveu de Lamartine
et ancien lieutenant de vaisseau. A des liens avec Drumont. (Drumont,
Zola et les juifs)
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Garde
Pierre |
Employé
de J.A. Le seul avec Arthur Kahn selon lui qui lui ait été dévoué.
(Drumont, Zola et les juifs).
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|
Glazier |
Ami
de JA à San Francisco. De la société Glazier & Mariner. (Sutro
papers, SF).
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|
Goudchaux
Georges |
Fils
de Michel Goudchaux.
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|
Goudchaux
Michel |
1797-1862.
Banquier, député de la Seine, ministre des finances Etat-Civil
de Nancy Vice-président à l'Assemblée constituante, membre du
conseil général de la Seine, chevalier de la Légion d'Honneur,
titulaire de la médaille de juillet. Il est trois fois ministre
des finances,en
particulier en 1848.
|
|
Gould
Jay |
« dont
une partie des millions (devenue française) est le point de mire
d’un hallali chrétien fort intéressant,… » (Drumont, Zola et les
juifs)
Jay
Gould et James Fisk avaient tentés d'accaparer le marché de l'or
en faisant circuler des fausses rumeurs sur la politique du gouvernement
vis-à-vis ce précieux métal. Ces faux bruits causent la ruine
de plusieurs porteurs un "vendredi noir" (Black Friday) de septembre
1869.
20
septembre 1873 Pour la seconde journée consécutive, la séance
de la Bourse de New York s'est clôturée par une série de faillites.
Des spéculateurs ont tenté de se débarrasser de leurs titres à
n'importe quel prix. Seul Jay Gould, requin de la finance, continuait
à acheter alors que tous vendaient.
|
|
Grace
William Russel |
Maire
de New York (1881/82 puis 1885/86), à la mort de Grant en 1885
il nomme JA dans le C pour le monument.(Les deux Républiques surs,
France et États-Unis). C'est
à cette époque qu'il accepte de la France au nom
du peuple américain, la statue de la Liberté.
Né
le 10 mai 1832 à Queenstown en Irland, décédé
le 21 mars 1904 à New York.
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|
Gromier,
Marc-Amédée |
A
publié dans La Correspondance Gromier et dans le
Parti Commercial, organe de l'Union Méditerranéenne
des lettres et articles de et sur JA. (L'oncle Sam et Marianne).
Fils
d'un libraire républicain de Bourg-en-Bresse qui devint plus tard
secrétaire de Félix Pyat et membre, lui aussi, de la Commune de
Paris. (http://perso.wanadoo.fr/aix-echos/histoire/bm-chez_les_autres.htm).
Collabore à La Question de Demain. Membre
de l'Association Internationale Économique des Amis de
la Paix Sociale. Président et fondateur de l'Union Méditerranéenne,
compagnie d'Outre-Mer. (Inventaire de la collection de LUCIEN
DESCAVES (1861-1949) COMMUNE DE PARIS 1788-1948)
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Hawley |
Juge
en charge de l'affaire Symmes contre la Union Trust Co.
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Houghton
R. E. |
Avocat
chargé de l'affaire Symmes, Aron, etc, vs Sutro & Union
Trust Company. Probablement un ami de Symmes. Il était
associé à George Barstow à l'époque
où JA était à San Francisco.
Adresse:
R. E. Houghton, Esq., Attorney and Counsellor at Law, Mills Building,
San Francisco.
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Hyde
Franck E. |
Avocat
au barreau du Connecticut. Il a délivré le 9 décembre 1897 le
certificat dispensant J.A. de tout consentement et publication
pour son mariage avec Rosalie Mace. (Acte de mariage).
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|
Jenkin
Owen E. |
Témoin
au second mariage de JA. 60 ans, typographe (???), 37, rue de
Paris à Bagneux, Seine; ami de JA. (Acte).
Libraire
Éditeur à Bagneux à la même adresse,
et traducteur pour La Question de Demain. (L'oncle Sam
et Marianne).
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Kahn
Arthur |
Embauché
par J.A. vers août 1895. (Drumont, Zola et les juifs).
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Kahn
Zadoc |
1839-1905.
Grand Rabbin de France.
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Katz |
Juge
devant lequel J.A. a comparu à la neuvième chambre, et dont il
avait connu le père à Strasbourg. (Drumont, Zola et les juifs).
|
|
de
Kératry Émile |
Il
a négocié aux États-Unis, avec l'aide de
JA. le bill concernant la protection des droits des auteurs français
outre-Atlantique. C'est la raison pour laquelle il demande à
Émile Zola, comme Président de la Société
des gens de lettres de le remercier personnellement, puis de le
proposer pour la Légion d'honneur.
Ils
s'opposeront plus tard lors d'un procès contre JA. au sujet
d'une traduction de Shakespeare.
Voici
le portrait que fait de lui Louis de Coulange dans le Figaro (1872)
alors qu'il est Préfet des Bouches-du-Rhône :
M.
le Comte de Kératry - 40 ans environ. - Ancien député
du Finistère sous l'Empire - Ancien Préfet de police
du 4 septembre. - Ancien général en chef de l'armée
de Bretagne. - Préfet de la Haute-Garonne (1re classe),
le 20 mars 1871. - Préfet des Bouches-du-Rhône (1re
classe), le 13 novembre 1871. # Figurez-vous Rastignac, ayant
été militaire, et vous aurez le préfet de
la Haute-Garonne. Quant il était sous-officier de chasseurs,
on le trouvait déjà peu endurant, et il reçu
un jour un coup d'épée qui lui endommagea un poumon,
mais respecta chez lui l'organe essentiel: l'ambition. Devenu
officier, il fit la campagne du Mexique avec Bazaine dont il avait
la confiance, et qui, dit-on, le présenta ensuite à
l'Empereur. Le futur préfet de police du 4 septembre, déjeuna
aux Tuileries en compagnie du futur capitulé de Sedan,
et du futur capitulé de Metz. Il paraît qu'il n'éprouva
pas dans cette petite fête tout l'effet qu'il en attendait,
car il se jeta aussitôt dans l'opposition, et se mit à
démolir cette expédition du Mexique qui l'avait
fait ce qu'il était. Il attendit sournoisement le gouvernement
impérial embusqué derrière la rédaction
en chef de la Revue Moderne, où l'on payait si mal
les rédacteurs, et on montrait du doigt les abonnés,
comme des phénomènes. Aux élections de 1868,
il découvrit qu'il possédait une tante au fond du
Finistère. Cela le décida à se présenter
à Brest, où il fut élu, et la tante se trouva
là juste à point pour payer les frais de l'élection.
A la Chambre, il fut ce que vous savez, un brouillon politique
parlant à l'aveuglette, et c'est un des députés
de la gauche qui ont voté en faveur de la guerre. En septembre,
il a été un des quatre qui ont entraîné
la foule à l'Hôtel-de-Ville, et, du coup, il s'est
adjugé la préfecture de police. Le voilà
définitivement lancé: il commence par signer comte
de Kératry, licencie les sergents de ville, ne signe plus
que Kératry, prend pour bras droit Raoul Rigault, fait
un rapport pour demander l'abolition de sa préfecture,
part pour la province en ballon, est nommé général
par Gambetta, se brouille avec lui un mois après, s'en
va dire partout que c'est un bandit, recommence à s'appeler
comte de Kératry, est nommé préfet de Toulouse
par M. Thiers, se pose à Toulouse en préfet à
poigne, est nommé préfet de Marseille, se pose à
Marseille en préfet à poigne, et muselle les révolutionnaires
pour les empêcher de faire des révolutions. Voilà
ce qu'il était hier. Que sera-t-il demain? On le dit orléaniste:
il est simplement Kératriste. C'est un esprit actif, entreprenant,
tenace, un peu rageur, mais énergique, et pouvant rendre
des services au gouvernement qui saura se l'attacher. Mais il
faudra commencer par le satisfaire, et Marseille ne doit pas suffire
à son ambition. Vous verrez qu'il se présentera
encore à la Chambre: par exemple ce n'est pas Brest qui
le réélira.
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Kilon
Eliézer |
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Laporte
Antoine |
Témoins
du second mariage de JA en 1897. 70 ans, libraire éditeur, 38bis
rue des Saint Pères, Paris Vième, ami de Rosalie Mace (acte).
B.
d'A. et ses uvres, étude bibliographique et critique, éd.
A. Laporte, 1884.
|
|
Lazard
Alexandre |
Cousin Germain de JA. Parti le premier pour la nouvelle Orléans
il est avec ses deux frères l'un des fondateurs de Lazard
Frères & Cie, devenue la banque Lazard. Sa mère,
Esther Lazard (née Aron) est la sur de son père.
|
|
Lazard
Elie |
Beau-frère
de JA, et gendre de Michel Goudchaux. Son portrait est en couverture
de « Les mensonges de Drumont » 1896, qui lui est dédié.
|
|
Lazard
Lazare |
Cousin Germain de JA. Il est avec ses deux frères l'un
des fondateurs de Lazard Frères & Cie, devenue la banque
Lazard. Sa mère, Esther Lazard (née Aron) est la
sur de son père.
|
|
Lazard
Simon |
(1828-1898)
Cousin Germain de JA. Parti en 1844 pour la nouvelle Orléans
il est avec ses deux frères l'un des fondateurs de Lazard
Frères & Cie, devenue la banque Lazard. Sa mère,
Esther Lazard (née Aron) est la sur de son père.
|
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Lazare
Bernard |
|
|
Lehmann |
C’est
l’homme que JA. Souhaitait rencontrer chez Calmann-Lévy le 30
octobre 1900 pour lui demander les droits d’Émile Augier
sur la question électorale..(Deux lettres à Paul Déroulède).
|
|
Lelienthal |
Vice
Président de la Sutro Tunnel Co. vers 1889.
|
|
Léon
Anatole |
Avocat
en première instance de JA. dans l’affaire avec Louis-Auguste
Ménard en 1897. (Drumont, Zola et les juifs/Quatre lettres à
M. Brégeault).
|
|
Léon
Richard |
Avoué
de J.A., le représente dans l’affaire avec Louis-Auguste
Ménard en 1897. (Drumont, Zola et les juifs/Quatre lettres à
M. Brégeault).
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|
Lesseps
Ferdinand |
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Lévy
Daniel |
Président
des Alsaciens Lorrains, Président honoraire et fondateur de la
bibliothèque française de San Francisco. « parti avec Daniel Lévy
pour la Californie en 1855, je ne l‘ai jamais perdu de vue… »
(Drumont, Zola et les juifs)
|
|
Lowengard
Otto |
De
Palmer et Lowengard, membre du comité de reconstruction de la
Sutro Tunnel Company. (History of a great work and of an honest
miner). Agent de JA pour l'achat des actions Sutro depuis au moins
le 1er juillet 1886.
|
|
Mackay
John William |
« que
j’ai connu simple mineur » (Drumont, Zola et les juifs).
(28
novembre 1831 - 20 juillet 1902) ,industriel. Milliardaire, surnommé
le « roi de l'argent ».
|
|
Mc
Calmont Hugh |
Associé
de la maison Mc Calmont Brothers & Co. (Londres) Frère
de Robert.
|
|
Mc
Calmont Robert |
A
coopéré avec JA pour la première souscription
de la Sutro Tunnel Co. Ils se sont rencontré à plusieurs
reprises à Londres, probablement en 1874 pendant le voyage
en Europe de JA, au moment de son installation à New-York
Associé
de la maison Mc Calmont Brothers & Co. (Londres) Frère
de Hugh et beau-frère de Lord Cairns, ancien Lord Chancellor
d'Angleterre.
|
|
Ménard
Louis-Auguste |
A
perdu un procès contre J.A. au sujet du vol du Roi Lear, 1898.
(Drumont, Zola et les juifs).
|
|
Meyer
Eugène |
Parti
presque en même temps que J.A. pour les États-Unis, ils
ont été employés ensemble. Il devenu l’un des associés et principal
représentant à New- York de la banque Lazard. Il était le beau-frère
du Grand Rabbin de France en 1896. (Drumont, Zola et les juifs).
Arrive
à Los Angeles en 1859. Mercier au 57 Fort Street, LA. Puis consul
de France de 1879 à 1884, entrepreneur.
Eugène
Meyer est un jeune strasbourgeois d’excellente famille, dont le
père est mort prématurément…En arrivant à San Francisco il est
petit employé dans une salle des ventes, rue Sacramento.
|
|
Meyer
Max |
Ami
de JA, avait acheté quelques actions de Sutro Tunnel qu’il est
allé visité début juin 1879. Sa société: Léopold Cahn & Co. (Sutro
papers, SF).
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|
Mistral
Frédéric |
1830/1914.
Poète, prix Nobel de littérature en 1904.
Il
envoi une carte de remerciement à JA de sa résidence
de Maillane, le 22 mai 1905.
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|
Mons
François |
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Palmer
& Lowengard |
Agent
de JA aux US pour prendre les actions Sutro Tunnel en 1887. (History
of a great work and of an honest miner).
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|
Poillot
Gustave |
Témoin
du second mariage de JA en 1897. 32 ans, négociant, 96, rue d’Hauteville,
Paris Xème, beau-frère d’Amélie Mace. (Acte).
|
|
Sanger
Adolphe L. |
Ami
de JA Président du conseil municipal de New York en 1885, à la
mort de Grant. A la mort de Grant JA. lui demande d'intervenir
auprès du maire pour qu'il efface son nom de la liste du
comité chargé de réunir les fond pour lui
élever un monument (Les deux Républiques surs, France
et États-Unis).
|
|
Sardou
Victorien |
« dont
je note tous les mots, ayant eu avec lui de célèbres relations
commerciales, tout ce qu’il dit ou fait m’intéresse. » (Drumont,
Zola et les juifs).
Né
à Paris, le 5 septembre 1831. Auteur dramatique, il dut ses premiers
succès à Virginie Déjazet ; il écrivit un grand nombre de pièces
de théâtre qui furent jouées au Vaudeville, au Gymnase, à la Porte
Saint-Martin, au Palais-Royal, à la Gaieté, à la Comédie-Française
; ses principales oeuvres sont : Nos intimes, La Famille Benoiton,
Nos bons villageois, Patrie, La Haine, Rabagas en 1872, Daniel
Rochat en 1880, Thermidor en 1891 ; ces trois dernières soulevèrent,
par les questions politiques qu'elles abordaient, de violentes
protestations ; il écrivit en collaboration avec de Najac, Divorçons
qui fut jouée au Palais-Royal, et pour Mme Sarah Bernardt, qui
en joua le rôle principal, Fédora, Théodora, la Tosca, La Sorcière.
Victorien Sardou fut souvent accusé de copier d'autres auteurs,
il défendit les droits de l'auteur dramatique dans une brochure
intitulée Mes plagiats ; il écrivit peu en dehors du théâtre.
Il fut élu à l'Académie après plusieurs tours de scrutin contre
le duc d'Audiffret-Pasquier et Leconte de Lisle, le 7 juin 1877
en remplacement de Joseph Autran, et reçu le 23 mai 1878 par Charles
Blanc. Mort le 8 novembre 1908.
Victorien
Sardou est à l’époque l’auteur le plus en vue sur les Boulevards.
En 1873 se joue une de ses comédies, l’Oncle Sam, qui fait rire
le bon peuple parisien au détriment des Américains. « Quand je
pense qu’il s’est trouvé un animal pour la découvrir ! ». La pièce
est une violente satire des États-Unis. Sardou dénonce
pêle-mêle la corruption de la presse, démasque l’imposture démocratique
et la comédie des « religions » lancées par des escrocs. Inculture,
âpreté, cynisme vulgaire : voilà l’Amérique. La charge est si
rude que Thiers décide dans un premier temps de l’interdire pour
ne pas « blesser une nation amie ».
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Sutro
Adolph |
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|
Sutro
Theodore |
Avocat
au barreau de New-York. (History of a great work and of an honest
miner). Président de la Sutro Tunnel Company au moment
du procès Symmes.
D'après
JA, il était le petit fils d'un rabbin bien connu d'Aix
la Chapelle en Prusse. Mais s'était converti au christianisme.(Is
it the duty of an attorney...)
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Schmidt
Paul |
Imprimeur
à Paris-Montrouge (Seine). Ami et imprimeur de J.A. (Drumont,
Zola et les juifs).
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Symmes
Frank J. |
Partenaire
avec JA du procès des actionnaires contre Sutro et la Union Trust
Company of New York. Il était Président de la Thomas Day & Co.,
222 Sutter stress San Francisco (Gas and electric fixture, agent
for US mail Chutte-American Meter Co - Crimshaw wire-interior
conduit). JA lui avait fait confiance car il s'était recommandé
de Raphaël Weill.
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Tauszky
Edmund |
Avocat
de Deal & Tauszky, défendant les intérêts
de la Union Trust Co. de New-York contre Symmes & Aron. (Is
it the duty of an attorney...)
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Thompson
Napoléon
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Éditeur
et imprimeur à New-York (Thompson & Moreau, 51, 53
Maiden Lane).
C'est
lui qui édite le premier livre de JA en 1885 "Alsace
Lorraine - Monument to Grant" "Deux République
surs). L'année suivante il publie (en français
et en anglais) "Gibet de Regina, la vérité
sur Riel: Sir John A. Macdonald et le cabinet d'Ottawa devant
l'opinion publique / par un homme bien renseigné. " (ce livre
"engagé" a fait l'objet d'une réédition
aux Éditions du Blé en 1985) dénonçant la politique
anglaise de répression au Canada qu'il l'offre à
JA. C'est la lecture de ce livre qui, plus tard incitera JA à
écrire "Canada-Transvaal", faisant le parallèle
avec les agissements britanniques en Afrique du Sud.
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Vanderbilt |
« dont
j’ai connu le père… » (Drumont, Zola et les juifs).
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Vignaud
Henry |
Témoin
au second mariage de J.A. Présenté dans l’acte comme ayant 67
ans en 1897 et tant premier secrétaire de l’Ambassade des États-Unis,
commandeur de la Légion d’honneur, 18, avenue Kleber, Paris XVIème,
et ami de J.A.
(27/11/1830-1922)
Jean Henry Vignaud descendant d'une famille créole est
né à la Nouvelle Orléans. Il est d'abord
professeur, puis il collabore avec le "Courrier de la Nouvelle
Orléans". Avant la guerre de Sécession il était
rédacteur en chef d'un journal. Durant la guerre, Capitaine
du 6ème régiment de Louisianne, il est fait prisonnier
lorsque les forces de l'Union prennent la Nouvelle Orléans
en 1862. Il s'échappe et part vers Paris ou il assistera
la mission confédérée de John Slidell. Il
restera à Paris en tant que secrétaire d'Ambassade
de 1875 jusqu'à sa retraite en 1909. Collectionneur de
livres, il s'était constitué une très belle
bibliothèque de 50.000 volumes qui sont aujourd'hui avec
ses archives à la William L. Clements Library, 909 S University
avenue, University of Michigan, Ann Arbor, Mich. (http://www.clements.umich.edu/Webguides/Arlenes/UZ/Vignaud.html)
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Von
Hoffmann |
Beau-père
de Morès, « Von Hoffmann dont j’ai été pendant longtemps le codirecteur
dans la Eureka, est un des plus éminents banquiers de New-York,
très loyal et très honnête… » (Drumont, Zola et les juifs).
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Waldeck
Rousseau
René |
(1846-1902)
Avocat, sénateur ministre et candidat à la présidence de la République.
Avait comme clients Alexandre Lazard, Simon Lazard et David Cahn.
(Drumont, Zola et les juifs).
Ministre
de l'intérieur dans le cabinet Gambetta de novembre 1881 à janvier
1882, puis dans le cabinet Ferry de février 1883 à mars 1885,
P. Waldeck-Rousseau sera volontiers autoritaire, incorruptible,
obstiné à sa tâche. Il en profite pour mettre en chantier ses
grandes réformes en faveur de la liberté d'association, dépose
en 1883 son premier projet relatif au contrat d'association, réforme
la même année la législation des coopératives et fait adopter
en 1884, la loi sur la liberté syndicale. En 1889, il ne se représente
pas aux élections et renoue avec son métier d'avocat. Mais en
1894, passant de la " gauche républicaine " à " l'alliance républicaine
", il se présente aux élections sénatoriales et grâce aux voix
catholiques il est élu sénateur de la Loire Inférieure. L'affaire
Dreyfus secoue la République et non qu'il devienne dreyfusard,
c'est la République pour laquelle il se bat et qu'il veut maintenir
sur son socle. Au plus vif des luttes de "l'affaire", il accepte
d'être nommé Président du conseil et le 22 juin 1899, il forme
un gouvernement de "défense républicaine". C'est ce gouvernement
qui fera aboutir la loi consacrant la liberté d'association. Son
cabinet fut l'un des plus marquants de la 3ème République. Comprenant
pour la 1ère fois un membre socialiste, ce cabinet réglera
l'affaire Dreyfus et traduira Paul Déroulède et plusieurs chefs
nationalistes en Haute Cour. Très malade, Pierre Waldeck-Rousseau
donne sa démission en mai 1902 et décède en octobre 1904 à Corbeil.
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Weill
Alexandre |
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Weill
Jules |
Frère
de Raphaël. Est en 1891, domicilié 25, rue bergère
à Paris, lorsque JA a son bureau au 30 de la rue Bergère.
(Is it the duty of an attorney...)
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Weill
Raphaël |
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Zola
Émile |
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